À première vue : deuxième bilan intermédiaire
Au terme de la troisième semaine de la rubrique, mise à jour en images (et toujours classées à peu près par ordre d’impatience) des attentes cannibales pour cette rentrée littéraire 2020 ! Il y a du changement par rapport à la semaine dernière – et il y en aura encore la semaine prochaine…
Cette entrée a été publiée le 18 juillet 2020 par cannibaleslecteurs. Classé dans A première vue, Romans Etrangers, Romans Francophones et a été tagué 2020, A première vue, Actes Sud, Agullo, Albin Michel, Asphalte, Aux Forges de Vulcain, éditions de Minuit, éditions Globe, Cannibales Lecteurs, Christian Bourgois, finitude, Flammarion, Gallimard, Gallmeister, Globe, Grasset, l'Iconoclaste, Liana Levi, littérature étrangère, littérature française, Métailié, poésie, rentrée littéraire, sélection.
J’ai lu Underground Railroad, un livre magnifique de cet auteur. J’ai noté celui sur la Patogonie. …. ceci après un premier passage sur ces présentations de couvertures. 😀
18 juillet 2020 à 21:26
Grand livre, Underground Railroad ! C’est pourquoi j’ai quelques attentes sur ce nouveau roman.
Et celui sur le Patagonie, oui, ça pourrait être une bonne surprise. On verra !
18 juillet 2020 à 21:56
J’achèterai certainement ce livre après Underground Railroad que je devrais chroniquer. D’autant plus que ce train aurait existé ?
18 juillet 2020 à 23:54
Le train n’a jamais existé selon la manière imaginée par Whitehead dans son roman. Il n’y a jamais eu de train, en réalité. L’expression « Underground Railroad » a été choisie comme un code secret qui ne devait être connu que de ceux qui l’utilisaient (les esclaves en fuite) et de ceux qui l’animaient (tous ceux qui, opposés à l’esclavage, aidaient les fugitifs à se mettre à l’abri).
L’expression désignait donc à la fois l’organisation nécessaire à l’évasion des esclaves, et le chemin de routes clandestines qui était fréquemment employé pour y parvenir.
Quandi il était enfant, en entendant parler de cette histoire, Colson Whitehead a naturellement pensé qu’il s’agissait d’un véritable train. Il a gardé cette idée en tête jusqu’à en faire un roman.
C’est une histoire passionnante, que le romancier a su exploiter avec beaucoup d’intelligence !
19 juillet 2020 à 06:51
Effectivement c’est moi qui me suis trompée. J’y ai cru moi-même en lisant le livre. 😉, comme l’auteur, il m’avait fait rentrer dans son monde. C’est à la fin que j’ai compris que c’était le chemin de la liberté pour les survivants. En échangeant les souvenirs de lectures me reviennent. L’esclavage expliqué sans concession, et quelle écriture. Une découverte d’un livre témoignage dans la cruauté de ce que peut être un humain qui ne mérite plus cette appellation. J’ai été très révoltée contre ce que j’ai pu lire. Comme il a bien fait d’écrire ce livre. J’ai hâte de lire le suivant.
19 juillet 2020 à 07:18
Le suivant semble différent (tant mieux), mais j’ai le sentiment qu’on y retrouvera le même feu qui anime cet auteur enfin découvert à sa juste valeur. Moi aussi, j’ai hâte !
19 juillet 2020 à 07:25
Je viens d’aller lire le résumé. J’irai le commander à ma librairie aux Chartrons. Même s’il s’agit de dénonciations sous forme d’un autre scénario littéraire, l’auteur a eu des prix pour celui ci aussi. Pour le premier ce fut vraiment justifié. J’ai hâte. Je pense ne pas me tromper sur la valeur de l’écrivain.
19 juillet 2020 à 07:32